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P*tain, un an !

Le titre de cet article est à la limite du mensonge puisqu’en vrai, nous avions ouvert le blog en Septembre. Nous faisons plutôt référence à notre première année de thèse écoulée. Du temps a passé, des larmes ont coulé, mais pas que. Nous avons aussi fait quelques dépressions, passé beaucoup de temps à boire pour oublier, Emilio s’est mis à fumer comme un pompier, je prends régulièrement de la drogue, et les manips n’ont toujours pas commencé à donner de VRAIS résultats. Vous savez, de ceux qui existent dans les contes et légendes de la Science, de ceux qu’on aperçoit des fois au loin, de ceux qui te permettent de publier – parfois, si vous ne tombez pas en face d’une horde de peer-reviewers aux yeux acérés qui vous diront que « non, votre test de Kricolw-Najauski ne donne qu’une p-value de 0,498 et ça ne suffit pas » et vous obligeront à recommencer l’analyse des données de votre fichier Excel de 3,4 Go. Bien sûr, ça peut encore plus mal se passer si en retour vous faites des allusions douteuses sur les relations qu’entretient le reviewer avec les membres de sa famille.

Alors pour fêter une année de labeur, de travail, de frustration, de déception, d’énervement, d’ébriété, de lamentations, de désespoir, de fatigue, d’isolation, d’aigreur, de caca (hé oui), et de procrastination sur le Internet, quelle autre meilleure façon que de faire un petit (du moins, on va essayer) article pour vous dire ce que nous pensons de l’année passée ? Oui, on aurait aussi pu faire une teuf avec des cadeaux pour tout le monde, mais un article c’est déjà pas mal. Nous vous proposerons également en second temps quelques statistiques amusantes du blog et, je spoile un peu désolé, on vous remerciera d’être là, d’être présents et de nous donner nos 5 visites par jour qui comptent pour nous autant qu’une pipe compte à un Hobbit. Ou une pipe pour un homme de façon plus générale.

1. Un an après, par Arnaud

C’est donc à moi d’accomplir la lourde tâche de continuer cet article après cette superbe introduction que j’ai moi-même rédigée. Et donc de vous dire comment je ressens le fait d’être un doctorant, un an après avoir commencé. Au premier abord, je suis toujours en vie, et c’est déjà plutôt un bon point. On m’avait dit que faire une thèse, c’est une succession de hauts et de bas, avec plus de bas que de hauts par ailleurs. De mon point de vue, si cette tendance n’est pas illusoire, elle ne s’est pas autant manifestée que je m’y attendais. En fait, et c’est encore plus vrai depuis ces derniers temps, je suis sur une sorte de courbe toute plate – comme le relief de Belgique ou une fille de douze ans – et assez morne : je n’ai pas de grandes raisons d’aller chialer dans les jupes de la mère d’Emilio, puisque je relativise en pensant à d’autres qui ont des soucis (au labo, j’entends) plus importants que ça. Mais je n’ai pas non plus de grosses raisons de m’extasier puisque soit mes manips ne marchent pas soit les résultats ne sont pas vraiment interprétables. De plus, on m’a récemment appris que Gotham City n’existe pas – admirez ce petit teasing du prochain « Gargarisme et Auto-Satisfaction » en même temps qu’un coup de pub pour nos ennemis jurés du pire site de l’univers. Je n’ai pas envie de m’étaler sur un paragraphe dont la longueur serait inversement proportionnelle à celle d’un pénis de chinois (vous pouvez me dénoncer ici) alors je vais faire quelque points :

  • La Science c’est cool, mais à force de frustrations, d’échecs, de demi-réussites, une certaine lassitude s’installe, et remets en doute mes perspectives d’avenir. Parce qu’au vu de la situation actuelle et celle à venir, je ne doute que les choses s’arrangent.
  • La thèse au quotidien c’est quand même ‘achement sympa. Entre le café, les pauses-café, la pause pré-déjeuner, la pause-travail, le goûter, et ensuite l’apéro (qui s’achève quand tu ré-ouvres les yeux le lendemain matin), on ne voit clairement pas le temps passer. Vous ai-je dit que je prenais de la drogue ?
  • Faire de l’enseignement a été quelque chose d’absolument salvateur pour moi, en me permettant de m’adonner à une activité que j’affectione particulièrement et de me faire oublier la mornitude du labo.
  • Ce point-ci est un leurre, il n’y a rien de pertinent écrit ici. Haha, je vous ai bien eu.
  • Ceux qui se sont dit « Mais il n’y a rien de pertinent nulle part » en lisant le précédent point, je vous invite à aller voir ailleurs si j’y suis. NON. Je plaisante ! Restez, RESTEZ !!!

Je sais que je dois avoir l’air négatif mais je garde énormément de bon souvenirs de cette première année : les coups bus avec les collègues et les copains, les rigolades au labo, le fait de présenter des résultats motivants, ou de lire des papiers vraiment intéressants et bien foutus… Mais le truc qui m’a le plus marqué je pense, c’est la formation où j’ai dû (enfin, j’ai voulu) présenter mon sujet de thèse à une vingtaine de doctorants que je ne connaissais pas… déguisé en Batman.

2. Un an après, par Emilio

C’est toujours compliqué d’essayer de faire un bilan de quelque chose qui est encore loin d’être terminé. Nous sommes théoriquement seulement au tiers de notre thèse, et pourtant il y a déjà tant de choses à raconter, tant de peines à partager, tant de joie à décrire. Je vais essayer d’être aussi concis que mon camarade afin d’éviter de vous saouler avec un article par ailleurs déjà trop long.
Comme Nono, si je vous écris aujourd’hui cela prouve bien que je ne suis pas mort, que je vais passablement bien, et que donc la thèse n’aura réussi qu’à tuer une partie de mon dynamisme, de ma motivation et de mes espoirs (à défaut de me tuer tout court). J’avoue avoir été très rapidement  surpris par l’engagement que demande une thèse : on pense pouvoir gérer le stress et les inquiétudes, et on se retrouve au final à ne penser en grande partie qu’à ça. C’est comme un énorme vortex, un tourbillon gigantesque qui vous aspire littéralement, et il faut lutter pour vivre, penser à autre chose. La thèse est un travail, mais le fait est qu’il s’insinue pernicieusement dans votre esprit, à tel point qu’il se retrouve être le seul sujet de conversation que vous pourrez avoir avec les Moldus (ce qui va vous rendre d’emblée chiant, aigri et condescendant (les escaliers)).
Mes recherches ont vécu autant de hauts et de bas qu’une piste de motocross, et la tendance est à la chute depuis pas mal de mois maintenant. Quand vous accumulez une poisse légendaire avec des obstacles insurmontables, vous vous retrouvez à changer en partie de sujet de thèse au bout d’un an. Je ne me plains pas, ça aurait pu être largement pire, j’aurais pu ne pas avoir de porte de secours, mais le fait est qu’accumuler les échecs amène une certaine lassitude qu’il devient difficile de combattre. Il faut espérer que l’avenir sera auréolé de papiers prestigieux (Objectif : deux Nature et un Cell même si c’est pas mon domaine) et de résultats magnifiques, sinon je vais encore faire des articles où je me plains.

Mais, de manière beaucoup plus positive, la thèse se révèle être sur d’autres plans (notamment humain) une expérience formidable. L’aspect social de la thèse est une part importante, pour ne pas dire cruciale, et pouvoir compter sur un entourage jovial, compréhensif et alcoolique permet de se lever le matin en ayant envie d’aller au boulot. J’ai eu l’occasion de voyager un peu lors de ma première année (d’ailleurs je vous écrit de Bourgoin-Jallieu mes braves !), ce qui m’a permis de voir un peu du pays (Saint-Malo, Montpellier, Lyon, etc…). C’est pas non plus exceptionnel comme voyages pour le moment, mais c’est un aspect positif qu’on ne saurait négliger.

En somme, plus j’avance, plus ça devient difficile, et plus je suis incertain quand à mon avenir (l’après-thèse). En attendant des résultats et des papiers qui justifieront le fric que l’état débourse pour moi (100 000€ sur trois ans, rien à faire de la clause de confidentialité, j’suis un ouf’ !), je serre les dents en compagnie de gens au moins aussi déprimés et déprimants que moi, à cramer mes sous dans des liquides alcoolisés en enviant le barman pour sa stabilité mentale et professionnelle.

PS: Si vous voulez savoir à quoi je ressemble désormais (barbe et cheveux encore plus longs) et sur quoi je travaille exactement, c’est ICI

3. Les statistiques, des fois, c’est rigolo 

Il faut savoir que WordPress met à disposition pour les blogueurs un panel d’indices et de données qui renseignent notamment sur la provenance des visites. En gros, on peut savoir dans une certaine mesure qui vient sur notre site : combien vous êtes exactement, de quel pays vous êtes originaire, quels mots-clés vous avez tapé dans vos moteurs de recherche ou à partir de quel site vous venez. En plus d’être assez informatif sur nos lecteurs et l’intérêt que ces derniers portent à nos publications, cela se révèle être source de franche rigolade lorsqu’on se penche plus en détail sur certains de ces indices.

Tout d’abord, les pays d’origine. Il faut dire qu’à partir du moment où nous avons communiqué nos publications sur Facebook, les visites ont quasi sextuplé (sexe  steuplait ?). Cela a induit un meilleur référencement de notre site sur les moteurs de recherche type Google et autres, ce qui a permis à notre site d’augmenter sa visibilité aux yeux du monde. Mais voyez-vous même :

Nous remercions plus particulièrement nos lecteurs finlandais et taïwanais qui ont dû bien se demander ce qu’ils foutaient là.

Nous sommes forcément très heureux de voir que notre blog sort des frontières de notre modeste pays, et qu’il atteint même des contrées surprenantes et non-francophones. On serait curieux de voir comment ces gens sont arrivés ici, et surtout ce qu’ils ont pu comprendre de nos articles. Il faut bien se rendre compte qu’un Grec qui tombe par mégarde sur notre blog ne doit pas comprendre un traitre mot de ce qu’il se passe, se retrouvant dans l’incapacité de déterminer si le blog parle de nourriture pour hamsters ou de pêche à la ligne…

Mais le plus drôle, ce qui nous a valu de sacrés éclats de rire (car oui, nous savons rire aussi), ce sont les mots-clés utilisés par les gens avant de tomber sur notre blog. Il y en a tellement que nous avons dû les classer en différentes catégories :

Le « number one »

néron

Cette phrase, titre d’un des articles phares de notre blog (écrit par le talentueux Emilio), est le mot-clé le plus utilisé par les gens avant de tomber sur notre blog. Surprenant ? Pas vraiment. Cette phrase est issu d’une série de sketchs des feus Robins des Bois, meilleurs troupes de comiques de France. Les gens cherchent l’origine de cette phrase sur Google, et SBIM ! Une visite pour OSAG. La classe, la vraie, Auchan.

Ceux qui recherchent de l’aide…

aide

…et qui malheureusement sont tombés sur notre blog. À défaut de les avoir aidé, on espère les avoir divertis un peu dans leurs quêtes de savoirs.

Les rageux/dépressifs

rage

Eux on les aime bien. On se dit au final qu’on est pas les seuls, qu’il y a même pire. On sent toute la rage qu’ils emmagasinent tout au long de la journée, cette même rage qu’ils abandonnent sur leur clavier le soir venu afin de cracher leur venin sur les Internets. On sent la détresse de certains, détresse que nous avons pu également ressentir par moment. Merci les gens, et courage !

Les mots-clés que l’on prend comme des insultes personnelles

insultes

Merci beaucoup, et allez bien vous faire m*ttre

WTF ??!!??

wtf

Là on avoue n’avoir rien pigé. Si des gens peuvent nous éclairer sur le lien entre cette liste et notre blog on est preneur. Parce qu’à part nous dire que notre blog est lu par des pervers, des antisémites, des urophiles, des zoophiles ainsi que des trisomiques 21 atteint d’autisme sévère et ayant vécus dans une grotte jusqu’à leurs 16 ans, on voit pas très bien…

Pour conclure cette partie sur les mots-clés déjà bien longue, sachez qu’on commence, grâce au référencement, à avoir une place de choix dans les résultats que Google sort pour certains mots. Ainsi, nous sommes parmis les premiers résultats lorsque vous tapez « thèse biologie » ou encore « blog thèse biologie ». Tout ça c’est grâce à vous tous qui nous lisez, alors encore une fois merci bordel !

4. Ce titre de section vous est dédié 

Tout comme le reste de ce qui va suivre. On souhaiterait vraiment vous remercier d’être là, ceux qui le sont depuis le début, ceux qui nous ont rejoint en cours de route. En ce moment on tient une moyenne de 20 visites par jour (ou presque) et c’est GIGANTESQUE (bah ouais, au moins 20 fois plus) que ce qu’on faisait encore au début de l’année.

Le pic de 84 visites en plus, c’était même pas grâce à nous…

On vous remercie aussi de vos interventions, de vos mots doux, de vos commentaires sur le blog ou IRL (quel plaisir de s’entendre dire « nan mais c’est de la merde ce que vous faites »… Je plaisante, personne ne nous a jamais dit ça, évidemment. C’était de la « sous-merde », plus exactement). C’est super cool de lire vos réactions (Emilio en attrape même des érections fabuleuses) donc on vous invite à continuer à commenter nos bêtises, parce que ça fait vivre le site et que plus on est de fous plus on rit (j’aurais également pu dire que pierre qui roule n’amasse pas mousse ou qu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras, mais c’est un peu hors-propos).

On remercie également nos guests qui sont venus écrire et maintenir le site à flots quand on avait la flemme pas le temps. Il faut remarquer d’ailleurs que 100% des guests qui ont contribué à l’aventure OSAG ont par ailleurs ensuite ouvert leur propre blog. C’est triste parce que ça nous fait un manque de main d’oeuvre, mais quelque part on sent un peu fier en se disant qu’on a contribué à vous lancer dans votre épopée. En tous cas, si ça continue comme ça, on va créer toute une blogosphère strasbourgeoisicodoctorestudiantine ! Une sorte de famille (la famille, si siiiii) dont on serait les parrains. Donc, même si on dit du mal de vous, on vous souhaite bon courage pour ce que vous faites !!

Bon par contre c’est pas tout de dire merci, mais moi j’ai des gargarismes à finir.

Arnaud & Emilio

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[Bonus] Résultat du sondage « es-tu un voleur de nourriture ? »

Oyez, oyez, fidèles lecteurs ! Je vous propose aujourd’hui un article assez court en comparaison avec ce que vous avez l’habitude de lire (enfin, de lire jusqu’à ce que vous décrochiez complètement au bout du 15e paragraphe). Le petit [Bonus] c’est aussi pour dire qu’on parlera pas de thèse, de doctorat, de concours, d’enseignement ou de la taille de la barbe d’Emilio. Quoique, il y a matière à faire pour cette dernière, car elle est très longue, et je crois que mon ami essaie de compenser quelque chose. BREF.

Il y a quelques temps, je vous exposais les mésaventures culinaires qui étaient arrivés à mon laboratoire. Pour réagir et essayer d’attraper le vil sacripant qui avait osé commettre cet acte sacrilège, j’ai eu la fabuleuse idée (hé, je suis pas en doctorat pour rien !) de proposer aux lecteurs du blog de répondre à un petit sondage qui, l’air de rien, allait m’aider à trouver qui est le coupable ! Après avoir cumulé des quantités INCROYABLES de données (avec pas moins de 17 participations, je vous jure que les ordinateurs ont chauffé), voici l’heure d’analyser les résultats.

Première question

Capture d’écran 2013-08-13 à 11.59.09

Voilà une question tout à fait banale pour commencer, afin de ne pas éveiller les soupçons du voleur de nourriture. Je suis sûr que vous y avez répondu en toute innocence, sans vous douter de ce qui vous attendait par après. Détail curieux, il y a parmi vous une personne qui n’est ni une fille ni un garçon (la réponse pas lisible c’est « Un peu des deux, mais vos parents n’ont jamais vraiment voulu vous dire la vérité »). Mademoiselle-Monsieur, vous représentez pour moi une bien belle curiosité scientifique et, si vous me le permettez, j’aimerai vous disséquer et vous observer sous mon microscope. Vous savez où me trouver !

Deuxième question (et vous voyez la pertinence et la clarté des titres de ces sous-parties d’article, c’est beau)

Capture d’écran 2013-08-13 à 11.59.18

Là, stupeur. « Vous ne faites pas de thèse mais vous suivez quand même ce fantastique blog ». Plus de la moitié d’entre-vous ne fait pas de thèse mais suit quand même nos histoires. Ça fait franchement plaisir et on vous remercie puissance 10 000 d’être là. Quelque part, ça veut dire qu’on arrive quand même à raconter des trucs qui vous intéressent, alors on va essayer de continuer comme ça. Quand je vous dis qu’il faut qu’on parle de la barbe d’Emilio…

Autrement il y a aussi quelques doctorants, à qui je dis « KOUKOU LAY KOPIN ». Et deux thésards. Bon. On a pas forcément le bon public, hein. Mais une question m’interpelle quand même. Hé, les thésards ?! Comment ça se fait que vous étiez sur internet au lieu de trimer H24 à faire des expériences en continu pour le papier de votre directeur d’équipe qui ne vous mettra que dans les « acknowledgments » ?

Troisième Question (et on arrive à la partie intéressante – du questionnaire, pas de l’article, voyons)

Capture d’écran 2013-08-13 à 11.59.25Comme on ne les voit pas sur le graphique, permettez-moi de vous rappeler les réponses, pertinentes et audacieuses, qui vous étaient proposées :

a. J’adore ça, je ne mange que ça. En même temps, je suis un singe, c’est assez banal en soi.

b. Ces questions alimentaires ne me concernent pas, je suis un caillou.

c. Ha, berk, je déteste ça ! Je n’aime tellement pas ça que si jamais je devais voler le repas de quelqu’un qui travaille au même endroit que moi, je la lui laisserai même pas touchée pour prouver ma méchanceté suprême.

La première chose à constater est qu’il y a effectivement des singes qui suivent notre blog. Ce qui n’est pas en soi une surprise, nous savons tous très bien que ces bestioles sont très intelligentes, qu’elles nous sont phylogénétiquement rapprochées et quand on voit la pilosité de Quentin S. (qui a la joie de devenir un THÉSARD à la rentrée des classes), on voit où se trouve le chaînon manquant.

Non, ce qui m’a le plus frappé, c’est qu’il y a une très forte majorité de CAILLOUX. Incroyable, qui l’eut-crû ? Lustucru ?

Carlo n’a pas aimé cette blague 😦

Sachez que cette réponse m’emplit de joie, de rêves de gloire scientifique, de prix Nobel. Imaginez : « T*******, A. & R******************, E. An outstanding online form leads to the discovery of rocks using the Internet. 2013 Nature, Vol 5, 43-73″. Franchement, ça envoie pas du lourd ? Non ? Pas même un peu ?

Quant au coupable, je sais désormais qu’ils sont en fait deux. C’est donc d’un travail d’équipe qu’il s’agit, d’un duo même, oserais-je dire. Deux personnes pour qui l’aversion envers les bananes n’aura pas suffit à les empêcher de commettre un crime dont la monstruosité égale presque les heures les plus sombres de notre Histoire (oui, oui, point Godwin, of course). OU ALORS. Nous avons affaire à un schizophrène. Mais oui. Ça expliquerait pourquoi il y a cette réponse « je suis une fille mais je suis un garçon aussi ». Une double personnalité avec une dualité sexuelle de plus. Quelqu’un qui des fois porterait le bouc, et des fois qui se raserait. Quelqu’un qui écouterait des musiques de garçons genre du métal, mais avec des voix de filles dedans. Quelqu’un qui pourrait avoir une coiffure mixte, avec une grosse mèche sur le côté…

OH MON DIEU.

Arnaud

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